| | jake #les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît | |
| Auteur | Message |
---|
❖ PETITS MOTS : 52 JE SUIS LA DEPUIS : 19/05/2013
| Sujet: jake #les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît Dim 19 Mai - 12:19 | |
| harry - jake hartling feat alex pettyfer |
parle-nous de toi, on veut tout savoir
est un homme d’action, le genre qui frappe avant de poser les questions + n’aime pas faire part de ses sentiments et bien que marié, il évite les « je t’aime » + fume comme un pompier depuis qu’il est entré dans l’armée + a deux cicatrices d’impact de balles dans le dos, résultats d’un malencontreux accident + sait jouer de la guitare mais se refuse obstinément à chantonner par derrière + connaît sa femme sur le bout des doigts + préfère dire qu’il ne supporte pas les poils de chat plutôt que d’avouer qu’il en a peur + a la fâcheuse manie de se ronger les ongles quand il est stressé + est un grand consommateur de caféine et de réglisse
|
ta vie sentimentale on veut tout savoir Profondément amoureux de la même personne depuis mes quinze ans, nous sommes d’abord tombés amoureux puis nous nous sommes fiancés et j’ai fini par l’épouser. Elle est la plus belle chose qui me soit arrivé et l’unique personne pour qui je serai prêt à sacrifier ma propre vie. Bien sûr, tout cela reste entre nous, il ne faudrait pas qu’elle vienne à l’apprendre.
|
être heureux en amour pour toi, c'est quoi ? ton point de vue sur l'amour heureux nous intéresse L’amour heureux c’est avant tout profiter de chaque moment passé avec la personne aimée. C’est se souvenir de sa voix lorsqu’elle est loin, la voir hanter tes nuits, l’imaginer t’embrassant, se souvenir d’elle lorsque tu ne peux pas lui parler. C’est chacun de ces moments qui te rendent heureux, qu’importe soient-ils bizarres ou étranges, c’est tout simplement le contentement passé avec la personne de ton cœur.
|
derrière ton écran PRÉNOM ₪ mélanie. PSEUDO ₪ melou. AGE ₪ 21 ans. PAYS ₪ france. PERSONNAGE ₪ inventé. COMMENT AS-TU CONNU FLA ? ₪ par pub rpg design UN DERNIER MOT ? ₪ wesh, ça fait trop zizir d'être là | |
Dernière édition par H. Jake Hartling le Dim 19 Mai - 17:00, édité 3 fois |
| | |
❖ PETITS MOTS : 52 JE SUIS LA DEPUIS : 19/05/2013
| Sujet: Re: jake #les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît Dim 19 Mai - 12:19 | |
| life is such a freak time Ma naissance ne fut pas aussi réjouissante que le fut l’annonce de ma venue neuf mois plus tôt. Mes parents étaient aux anges, une troisième bouille venait agrandir la famille après que mes frères Miles et Lennon m’eurent respectivement précédés de six et quatre ans. Ma mère me certifia toujours qu’elle n’était pas déçue de l’arrivée de ce troisième garçon bien qu’au fond je la savais attristée de ne pas avoir de fille. Mon père, lui, était ravi, ne pas avoir de fille ne le chagrinait pas et un troisième fils le satisfaisait entièrement. Je n’eu pourtant jamais l’occasion de rencontrer ce père, mort deux mois avant ma naissance. Mon père était militaire et son patriotisme eu malheureusement raison de sa vie, il mourut lors d’une mission d’intervention en Irak lors de la première guerre du Golfe. A la maternité un seul visage manquait donc, celui de mon père. « Harry. » Ma mère m’observait silencieusement depuis quelques minutes et blottie dans ses bras elle demeurait attentive à chacun de mes mouvements. « Tu es certaine du prénom, ma chérie ? » Cette voix était celle de ma grand-mère, c’était la matriarche de la famille, le genre avec qui on ne doit pas déroger aux règles. « Certaine. » Répondit ma mère, le visage toujours aussi serein. « Il n’aura pas la chance de connaître son père, de savoir qu’il l’aimait avant même qu’il ne soit parmi nous. Je veux qu’il ait son prénom. » Harry était le prénom de mon père. Avant sa mort, mes parents s’étaient mis d’accord sur Jake, que ma mère garda seulement en second prénom. Malgré l’absence de mon père je connu une enfance dès plus heureuse et normale. Ma mère s’employa à ce que je ne manque de rien, doublant ses heures de permanence nuit comme jour, week-end comme semaine. Pendant ses heures de travail, je restais la plupart du temps sous la garde de mes frères
« Jake bordel ! Lève toi ! » La voix de mon frère aîné retentit dans toute la maison. Malgré l’avertissement, je demeurais allongé dans mon lit, couverture recouvrant ma tête et yeux désespérément fermés. « Jake tu vas être en retard, lève toi maintenant ou je m’occupe personnellement de bouger tes fesses de là ! » J’obtempérai finalement et me levai. Dans la cuisine, je retrouvais mes deux frères, Miles aux fourneaux et Lennon qui tout comme moi ne réussissait pas à se réveiller, notre mère était déjà partie au travail. A la mort de mon père Miles devint l’homme de la maison, celui qui s’occupait de ses jeunes frères et qui demeurait toujours présent aux côtés de notre mère. Quant à Lennon, il était le grand frère que n’était plus Miles, celui à qui je disais tout et qui tout en me soutenant prenait un malin plaisir à me martyriser. Ils étaient aussi eux qui commencèrent à m'appeler par mon véritable prénom, Jake. Ma mère se refusait à m'appeler autrement qu'Harry mais sans jamais oser lui dire, je préférais Jake, le souvenir de mon père étant moins présent et pesant. Ce matin là j’arrivais, comme prévu, en retard au lycée, j’y retrouvais ma bande d’amis que je connaissais pour la plupart depuis des années. Parmi eux, Léïa se différenciait des autres. Secrètement j’en étais amoureux depuis des années, sans jamais oser lui dire. Elle était française et son accent m’avait charmé puis les années passant elle le perdit petit à petit mais mes sentiments restèrent. Finalement je l’embrassais un jour, elle me rendit le baiser et nous sortîmes officiellement ensemble. A seulement quinze ans je connaissais le premier amour de ma vie, celle avec qui je connu de nombreuses premières fois et celle que j’espérais être l’unique amour de ma vie.
A vingt ans à peine je pris la décision qui changea ma vie ; je m’engageais dans l’armée. Je le savais, cette décision n’allait pas être sans conséquence pour ma mère et mes frères. J’annonçais la nouvelle lors d’un repas de famille, je vis ma mère étouffer un cri d’effroi tandis que mes frères me regardèrent, colère et inquiétude se mélangeaient dans leur regard. « Chéri, s’il te plait, pas ça… » La voix désolée de ma mère me transperça le cœur. Je lui infligeais de nouvelles blessures et je savais très bien que la mort de mon père était en grande partie responsable de leurs réactions mais mon choix était fait, ma décision était prise. Je serai soldat, comme le père que je n’ai pas connu. Mes frères se refusèrent à me parler pendant quelques jours et ma mère tentait vainement de ne pas me montrer ses larmes coulées lorsque le sujet revenait. Léïa fut la première personne à connaître mon intention d’entrer dans l’armée et aussi la première, et peut être unique, personne à me soutenir dans ce projet. Je n’en espérais pas moins d’elle. Après le lycée, j’avais sans grande conviction tenter deux années de médecine mais quelque chose me manquait. Au fond, je ressentais le besoin de faire comme mon père, de marcher sur les pas d’un homme si important dans ma vie et que je n’avais pourtant pas connu. Le soir de mon engagement je demandais Léïa en mariage. Ma proposition n’eut rien de bien exceptionnel, nous n’étions que tous les deux, dans sa chambre d’enfance. Très peu démonstratif, je ne m’étais pas mis à genoux, mes yeux n’étaient pas larmoyants de larmes, et mon compte en banque ne me permit même pas de lui acheter une bague pour l’occasion. Pourtant, main dans sa main, je me lançais « Ecoute, j’suis nul à ça, tu me connais, c’est pas mon truc d’exprimer ce que je ressens. » Commençai-je en plantant mon regard dans le sien « Léïa, je peux pas te promettre tout l’or du monde mais je sais que je peux te rendre heureuse. Je veux être avec toi, vieillir à tes côtés, je veux vivre ma vie auprès de la personne que j’aime. Alors, veux-tu m’épouser ? » Je sentis mes joues bruler et embarrassé j’essayais de ne pas détourner le regard. Sa réponse fut oui. Pour la mariage nous avions préféré une cérémonie intimiste où seule la famille et nos plus proches amis étaient invités. Ce jour là, je l’aimai plus que tout, rien d’autre n’avait d’importance. Elle était la seule qui comptait et le resterai très certainement à jamais.
Je quittai finalement ma famille une dizaine de jours seulement après mon mariage. Comme beaucoup de soldats jeunes et en bonne condition physique, j’étais envoyé sur le terrain, là où on fait les vrais hommes ne cessait de scander mon caporal chef. La vie loin de mes proches fut plus dure que je ne l’aurais imaginé. Ils me manquaient, tous, même mes frères. A deux mois de ma première permission, j’apprenais la mort de ma mère, accablée depuis un an d’un cancer dont elle n’arrivait pas à se débarrassait, la maladie l’emporta finalement. Loin d’elle, je ne pu lui dire au revoir mais fut exceptionnellement autorisé à rentrer plus tôt pour pouvoir assister à ses obsèques. Il pleuvait ce jour-là, mes frères et moi nous tenions à côté les uns des autres, aucun de nous ne versa une larme devant les deux autres mais notre peine était palpable. Ma mère était l’unique parent qui nous restait et comme papa, elle était à son tour partit. Elle aussi nous avait quitté. Je n’eu le temps de quelques semaines pour faire mon deuil avant de repartir pour l’Afghanistan qui désormais était devenu mon nouveau quotidien.
« Repliez-vous ! C’est une embuscade ! » Les tirs foisonnaient de partout, touchant civils et soldats. Dans la cohue, mon caporal s’époumonait, nous ordonnant de nous rabattre vers le campement. « Repliez-vous ! » Puis je n’entendis plus sa voix. Abrité derrière un mur et arme en mains je répliquais, nos ennemis étaient bien plus nombreux, nous n’avions peu de chance. Je me mis aussi à crier, ordonnant à mes compagnons de se rabattre mais toute retraite nous était impossible. L’assaut continua pendant près de dix minutes, je fus l’un des derniers à être touché. Terrassé par deux balles dans le dos, je m’écrasais au sol. Le corps sans vie de mon caporal reposait à quelques mètres de moi. Ce fut mon dernier souvenir de ce jour. Lorsque je me réveillai trois semaines étaient passées. Par miracle, je survécu à mes blessures. « Comment vont les autres ? » Demandai-je d’une voix fatiguée, presque éteinte. Pour toute réponse, le médecin m’accorda un sourire compatissant. J’étais donc le seul à m’en être sorti. Je demeurai encore trois semaines de plus à l’hôpital du camp avant d’être rapatrié à Chicago. Blessé et traumatisé, mes nuits étaient désormais hantées par les cris de mes compagnons mourants. Je n’étais habité que par une seule pensée, celle d’y retourner pour venger mes compagnons morts au combat.
Dernière édition par H. Jake Hartling le Dim 19 Mai - 22:43, édité 14 fois |
| | |
❖ PETITS MOTS : 83 JE SUIS LA DEPUIS : 18/05/2013 JE SUIS D'HUMEUR : à boire un verre
| Sujet: Re: jake #les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît Dim 19 Mai - 12:26 | |
| Wouah ton avatar *0* Bienvenue ici ! |
| | |
❖ PETITS MOTS : 52 JE SUIS LA DEPUIS : 19/05/2013
| Sujet: Re: jake #les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît Dim 19 Mai - 12:39 | |
| J'te retourne le "wouah" ! Merci ^^ |
| | |
❖ PETITS MOTS : 336 JE SUIS LA DEPUIS : 27/04/2013
| Sujet: Re: jake #les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît Dim 19 Mai - 13:01 | |
| oh carrément ton avatar est trop beau bienvenue parmi nous |
| | |
❖ PETITS MOTS : 202 JE SUIS LA DEPUIS : 28/04/2013 JE SUIS D'HUMEUR : taquine
| | | |
❖ PETITS MOTS : 52 JE SUIS LA DEPUIS : 19/05/2013
| Sujet: Re: jake #les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît Dim 19 Mai - 15:32 | |
| Merciii vous deux Je n'hésiterai pas si besoin Trent ! J'adore ta signature Elwyn ! |
| | |
❖ PETITS MOTS : 336 JE SUIS LA DEPUIS : 27/04/2013
| Sujet: Re: jake #les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît Dim 19 Mai - 15:36 | |
| merci beaucoup |
| | |
❖ PETITS MOTS : 106 JE SUIS LA DEPUIS : 17/05/2013 JE SUIS D'HUMEUR : Habituelle NOMBRE DE BOUGIE : 28
| Sujet: Re: jake #les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît Dim 19 Mai - 16:10 | |
| Normal, c'est nous ! ( et c'est l'un de mes gifs préférés entre temps xD) En plus j'adore l'avatar que tu as mise ! C'est vraiment bien fait ! En tout cas, bienvenue o/ ! |
| | |
❖ PETITS MOTS : 101 JE SUIS LA DEPUIS : 18/05/2013
| Sujet: Re: jake #les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît Dim 19 Mai - 18:48 | |
| Pettyfer, la classe Bienvenue et bon courage pour ta fiche |
| | |
❖ PETITS MOTS : 52 JE SUIS LA DEPUIS : 19/05/2013
| Sujet: Re: jake #les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît Dim 19 Mai - 22:40 | |
| Merci beaucoup vous deux Vous aussi vous êtes très beaux (haha) |
| | |
❖ PETITS MOTS : 30 JE SUIS LA DEPUIS : 18/05/2013 JE SUIS D'HUMEUR : Nonchalante. NOMBRE DE BOUGIE : 24
| Sujet: Re: jake #les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît Dim 19 Mai - 22:54 | |
| Bienvenue, Mister H. |
| | |
❖ PETITS MOTS : 336 JE SUIS LA DEPUIS : 27/04/2013
| Sujet: Re: jake #les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît Dim 19 Mai - 23:05 | |
| Je te valide monsieur Bon jeu parmi nous amuse toi bien ! |
| | |
❖ PETITS MOTS : 52 JE SUIS LA DEPUIS : 19/05/2013
| Sujet: Re: jake #les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît Dim 19 Mai - 23:09 | |
| Merci, Miss J. Merci merci, contente de vous rejoindre |
| | |
❖ PETITS MOTS : 47 JE SUIS LA DEPUIS : 19/05/2013 JE SUIS D'HUMEUR : bourré NOMBRE DE BOUGIE : 42
| Sujet: Re: jake #les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît Dim 19 Mai - 23:10 | |
| Bienvenue |
| | |
❖
| Sujet: Re: jake #les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît | |
| |
| | | | jake #les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît | |
|
Sujets similaires | |
|
Sujets similaires | |
| |
Page 1 sur 1 | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |